Qui sommes-nous
Qui sommes nous
Qui sommes-nous ?
SILLAT est une association de loi 1901, issue de la fusion entre l’Union des étudiants exilés et l’association Réfugiés Enseignement Supérieur à Lyon. Les deux associations ont travaillé depuis des années afin de créer un accès équitable des personnes exilées à l’enseignement supérieur.
Le nom ‘SILLAT’, signifiant ‘ponts’, ‘liens’ ou ‘force’ dans différentes langues, incarne parfaitement notre mission : celle de bâtir des passerelles entre les étudiants exilés et le système d’enseignement supérieur français, ainsi qu’entre les étudiants exilés, français et internationaux.
Grâce aux projets innovants que l’association a pu mettre en place, Sillat a été lauréate du concours de la Fondation La France s’engage en 2022.
Nos objectifs :
Sillat travaille pour l’éducation comme un levier puissant pour l’équité, l’égalité des chances, l’inclusion et l’intégration. Nos actions s’inscrivent dans le cadre de plusieurs Objectifs de Développement Durable (ODD), dont : ODD 4 (éducation de qualité), ODD 5 (égalité entre les sexes), ODD 8 (travail décent et croissance économique) et ODD 10 (inégalités réduites).
Sillat vise à réduire les obstacles qui entravent l’accès des personnes en situation d’exil à l’enseignement supérieur en France, tout en favorisant leur intégration académique, économique et sociale sur le long terme. Nous attachons une importance particulière à l’Independence de nos bénéficiaires, non seulement pour soutenir leur réussite académique, mais également pour renforcer leur confiance en eux et leur autonomie afin qu’ils puissent relever les défis du monde professionnel avec assurance.
Les défis majeurs de l'accès des exilés à l'enseignement supérieur en France :
Les personnes exilées font face à un parcours semé d’obstacles, marqué par un manque d’identification des besoins, une absence de recensement et d’information sur leurs droits et possibilités, des offres linguistiques insuffisantes, un accompagnement inadéquat, des conditions de vie précaires, des dispositifs décourageants, une maltraitance administrative, et des barrières spécifiques pour les femmes, notamment liées au genre et à l’accès aux réseaux.